Jour après jour, le panel de dégustation part pour vous à la recherche des meilleurs vins. Qu'il s'agisse d'une bouteille à ouvrir à l'apéritif (de Noël), pour étonner vos convives ou pour accompagner un long repas gastronomique, le défi reste le même. Tout est finalement question de goût. C'est pourquoi le panel de dégustation a sélectionné, pour chaque service, des vins qui sublimeront votre repas (de Noël).

« Je suis une grande fan des repas partagés, où on se sent un peu plus libre que dans le cas d'un menu à plusieurs services. Lors d'un repas partagé, la table est garnie de toutes sortes de mets. Chacun apporte ainsi ce qu'il veut. De plus, cela permet de tester certains plats en petite quantité. En cas d'échec, rien de dramatique : il y a suffisamment d'autres choses à déguster sur la table.

Demandez à chacun de préparer un plat. Mais déterminez à l'avance qui s'occupe de quoi, pour éviter d'avoir des dizaines de tomatescrevettes pour tout le repas. Une autre option consiste à faire piocher à chacun un ingrédient et/ou un type de cuisine afin de garder la surprise du menu pour le jour. »

« Une fois par an, ma mère autorisait mon père à prendre possession de la cuisine pour y préparer son fameux cocktail de homard. L'entrée traditionnelle du réveillon de Noël. Après avoir longuement fouetté et mis la cuisine sens dessus dessous, il en sortait fier comme un paon, tenant son grand bol de sauce épaisse rose pâle. « Qui veut goûter ? » « Encore meilleur que l'an passé, papa ! » Sa sauce était tellement exquise que l'on ne goûtait presque plus les morceaux de homard qui s'y cachaient.

Lorsque, des années plus tard, j'ai dû préparer une entrée pour le repas de Noël du kot, le choix a été vite fait : un cocktail de homard. Mais sans homard, car notre budget étudiant ne le permettait pas. Je l'ai donc remplacé par des crevettes de Norvège bon marché, que j'ai dissimulées sous la super sauce de papa. Vous vous en doutez : mes cokotteurs n'avaient jamais goûté un aussi bon « homard » ! »

« J'ai un jour été conseillé par un boucher de Bruxelles quant à la préparation du rôti. Au lieu de saisir la viande avant de la faire rôtir au four (ce qui est souvent source de stress point de vue timing : sera-t-elle trop ou pas assez cuite), il m'a expliqué qu'il était bien plus facile, et surtout meilleur, de commencer par la cuire le plus lentement possible au four (« cuisson inversée »).

Le résultat est un rôti parfaitement rosé, doté d'une jolie  croûte dorée. De plus, vous pouvez ainsi préparer votre rôti longtemps à l'avance, jusqu'à deux jours sans souci ! Dès que la viande est cuite, dorez-la à la poêle. L'avantage est que vous pouvez terminer la cuisson à la dernière minute, après avoir préparé les accompagnements.»

« Avant de sortir le fromage ou le dessert, il peut être intéressant de vous assurer que vos convives souhaitent encore du vin. Cela peut paraître étonnant venant d'un vinophile comme moi, mais il vaut parfois mieux passer directement au café ou au thé…

Vous avez prévu un joli dessert (copieux) ? Prenez votre temps afi n de laisser descendre tous les mets culinaires précédents. Vous pourrez ensuite savourer pleinement la fin du repas.»

Action valable jusqu’au 25 Décembre 2023 inclus ou jusqu’à épuisement des stocks.